Quand le vent se lève
Que les vagues se font falaise
Le continent s’éloigne
Et la vie devient légère
Quand le ciel tourmenté gronde
Que ruisselle la pluie féconde
Les pieds s’ancrent sur terre
Et le coeur s’en va-t-en mer
Le vent, la vie, la fière beauté d’une vague immense qui vient briser
Les chaînes d’une vie trop bien réglée, d’un triste manège désenchantée
Le vent la vie la fière beauté d’une vague qui nous libère